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Histoire d'une addiction (18+)
30 juin 2009

Première sortie sur un lieu de drague gay

1996, me voici à l'aube de mes 16 ans. Pour une raison inconnue, j'ai beaucoup repensé ce jour là à mon expérience avec Vincent, et plus particulièrement aux 2 hommes âgés qui nous ont rejoins au bout d'un moment. Que faisaient-ils là ? J'avais entendu parler de "lieux de drague" mais je ne m'étais jamais vraiment penché sur la question. J'ai donc décidé de retourner faire un tour sur place. Le seul "hic", c'est que j'y suis allé en voiture avec Vincent, mais je ne savais pas comment y aller seul. J'ai donc essayé de remonter le chemin à l'aide d'une carte, et me suis lancé dans l'aventure. Il m'a fallu 1h pour y arriver ! 1h de marche tout entière. Je me suis tout d'abord posé à l'entrée du bois pour reprendre mon souffle. Il ne se passait pas grand chose mis à part des couples et des familles qui passaient en vélo. J'étais particulièrement mal à l'aise à l'idée de m'imaginer suçant une grosse queue sous le regard attentif d'une petite fille qui passait par là : "Dis maman, il fait quoi le monsieur ?". 5 petites minutes plus tard, je me décidai à me remettre en route et m'avançai pas à pas dans les profondeurs de cette vaste étendue d'arbres. La forêt regorgeait d'allée qui, bout à bout, formait de gay_outdoor_woods_forest_sex114véritables carrefours vers des chemins moins dégagés. A quelques reprises, je me suis risqué à emprunter l'un d'eux mais je me suis retrouvé, au final, qu'au devant de restes de feux de bois, de morceaux de cartons constitués en abris, ou de ports d'attache de bateaux de plaisance. Ce n'est qu'au bout de 20 bonnes minutes de marche (et oui, encore !!) que je suis débouché sur quelque chose d'intéressant.
En effet, quittant progressivement les bois, je m'engageai vers une vaste étendue de terre sèche, de buissons et de zones plus ou moins boiseuses. Au centre de cette zone se tenait un centre d'avions miniatures dont les membres, peut nombreux, faisaient voler leurs appareils par delà le ciel. Mais ce n'est pas ce faible rassemblement de joueurs qui m'intéressait, ou plutôt une autre catégorie de joueurs ! Des hommes, aux âges et aux physiques variés, se promenaient ça et là en me jetant des regards intrigués. Ne sachant comment me comporter, je commençais à mon tour à faire le tour de la zone, passant sur un chemin de terre, puis entre une rangée d'arbres, pour arriver près d'un point d'eau. Les rencards semblaient être nombreux selon les moments. Un coup il n'y avait personne, puis 15 minutes après on pouvait assister à un défilé d'une dizaine de mecs.

Je continuais et fini par m'engouffrer entre deux buissons qui signaient l'entrée d'une véritable zone cachée masquée par les arbres et la végétation. De nombreux débris jonchaient le sol : mouchoirs, capotes, emballage de préservatif ou de lubrifiant (vous savez  ? Les emballages avec un smiley et un numéro de téléphone...). Puis, brusquement, je tombais nez à nez avec un jeune homme à quatre pattes devant un homme d'âge mur. Ce dernier était en train de se faire sucer mais l'érection ne semblait pas au rendez-vous ! Quoi qu'il en soit, ma présence ne semblait pas la bienvenue car le couple se figea, m'invitant très clairement à continuer mon chemin ! J'emboitais donc le pas, poussant les branches et les broussailles pour me frayer un chemin.

r008Quelques minutes plus tard, je vis un jeune homme, assez grand et surtout particulièrement viril, du style racaille. Il semblait intéressé, et autant vous dire que c'était bien réciproque ! Je continuai donc à marcher et le suivi pour ne pas perdre sa trace. Mais là : horreur ! Un vieux pas spécialement séduisant m'avait également pris en chasse. Nous fumes donc 3 à nous suivre pendant plusieurs secondes et, lorsque ma "proie" s'arrêter dans un recoin, et que je m'apprêtais à m'arrêter à sa hauteur, je constatai que le vieil homme ne semblait pas décidé à lâcher le morceau. D'un geste de main, la racaille se débarrassa alors de notre poursuivant, et m'emmena à l'écart de la "zone de chasse", des bois d'où j'étais venu quelques instants auparavant. Puis nous nous sommes arrêtés dans un coin, cachés par les arbres. Le jeune homme se frottait le sexe à travers son survêt blanc, et me regardait d'un air calculateur me regardant de haut en bas. Je m'approchais tout en soutenant son regard puis me mis à genoux afin de lécher son survêt. Il semblait avoir une queue moyenne mais vraiment épaisse ! Piqué par la curiosité, je ne pu attendre plus longtemps et abaissa son survêt puis son boxer mettant en évidence une très belle queue bien droite et bien grosse. Il me prit par la tête et tapa son gland sur ma langue. Puis il le rentra sans cérémonie à l'intérieur de ma bouche. Son sexe connu rapidement le fond de ma gorge, et à plusieurs moments je me souviens avoir failli m'étouffer. Mais j'étais excité, et lorsqu'il retira sa bite afin de me laisser respirer, je lui faisais comprendre que j'en voulais encore : j'étais vraiment devenu accro ! Une belle grosse teub de racaille comme j'en avais jamais sucé ! Je lui ai astiqué très longuement le sexe, le sortant régulièrement de la bouche afin de le parcourir avec ma langue, m'arrêtant longuement autour de son gros gland. De son coté, il semblait prendre plaisir à prendre les choses en main lorsqu'il me bloquait la tête de ses deux mains.

De longues minutes s'écoulèrent, des minutes qui formèrent un instant puis un long moment. Infatigable, il continuait à se faire sucer jusqu'au moment où il me releva et me baissa le pantalon afin de voir mes fesses. Il m'obligea à me cambrer puis, tout en me sodomisant la bouche, il me doigta le trou avec force. Ses doigts glissaient à l'intérieur, les uns après les autres, 2 ou 3 en même temps. Lorsqu'il me releva à nouveau, ce fut pour se placer derrière moi, sa bite entre mes jambes. Il continua alors ses vas-et-viens, puis il décida de rediriger sa queue sur mon trou. Il donna alors quelques coups puis commença à rentrer légèrement. Je l'ai alors stoppé immédiatement lui faisant comprendre que je ne préférais pas le faire sans préservatif. Visiblement il ne semblait pas en avoir puisqu'il m'invita à nouveau à me baisser afin de, cette fois-ci, lui lécher les couilles. Il se masturba alors, tout en matant mes fesses bien cambrés, puis fini par jouir au bout d'un moment, me tachant au passage le t-shirt. Il resta un moment pour reprendre son souffle, puis remballa sa marchandise et parti sans dire un mot.

Ce fut une belle première expérience sur un lieu de drague, même si je regrettai qu'il n'ait pu me sodomiser. Mais aurais-je du le laisser rentrer sans préservatif ? Je ne pense pas. Mais une chose est certaine : un t-shirt allait partir direct à laver en rentrant. A moins que je ne me masturbe encore le soir en sentant les traces de sperme qu'il avait laissé.

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Commentaires
D
lorsque j'avais 15 ans, en vélo, je me suis arrêté pour faire pipi au bord d'un bois, j'ai fait quelques pas et commençait à me soulager le long d'un arbre. A ce moment, j'ai vu un homme qui faisait pareil à quelque mètres de moi. Etonné, mais curieux, je n'ai pas rentré mon sexe après avoir fini, et j'ai vu l'homme s'approcher de moi. Alors j'ai fermé les yeux, j'ai senti que l'on touchait ma bite qui s'est raidie aussitôt, l'homme l'a prise et masturbée, j'ai éjaculé très vite, sans ouvrir les yeux. Souvenir inoubliable, et, depuis je n'ai jamais cessé de fréquenter les sous bois, mais moins au hasard, et je ne ferme plus yeux, et même j'ouvre la bouche. Ensuite, je retournais souvent sur ce lieu, un jour en ouvrant les yeux, je vis l'homme qui me suçais, un voisin que je connaissais bien, en me reconnaissant, il a pris la fuite..dommage
L
Tu as eu de la chance, sur les lieux de dragues le public est souvent pas très attirant... Ça dépend des fois.
C
Toujours aussi bien raconté. On suit avec plaisir ton évolution et tes rencontres.
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